Le producteur de vanille américain, Robert Delach, est émerveillé par la présentation du pavillon comorien, en particulier pour la vanille. “J’aime beaucoup la vanille et j’en produis. J’aimerai bien venir aux Comores pour découvrir comment la vanille est produite et si possible y investir”, assure Robert Delach.
Pour sa part, la Suissesse, Laura, a décrit le pavillon comorien en trois mots : “accueillant, coloré et très émouvant”. Elle et ses deux amies souhaitent également visiter les Comores pour leurs “belles plages et leurs fleurs arc-en-ciel”.
Pour le Pdg de Bahrain aluminium extrusion, Jassim Mohamed Seyadi, le pavillon “reflète bien” la beauté du pays. “Leur exposition résume toutes les activités du pays. Je n’y suis jamais allé mais je souhaite m’y rendre le plus rapidement possible pour le tourisme ou l’investissement”, déclare-t-il avant que le Jordanien, Mikdade Kaddane ne précise que ce pavillon résume la tradition comorienne et leurs plus beaux paysages : “J’ai bien apprécié les photos à l’entrée. C’est la toute première fois que j’entends parler de ce pays. J’étais également étonné de savoir que les habitants parlent plusieurs langues à la fois et, notamment, l’arabe”, s’est réjoui le jordanien.
Ce fonctionnaire des Emirats, Ahmed Al Amiri, estime que le pavillon comorien rend bien toutes les cultures liées au mariage et la vie quotidienne des habitants du pays : “le fonds marin comorien et ses espèces sont impressionnants. La beauté et l’odeur des fleurs aromatiques ainsi que les huiles essentielles peuvent faire de ce pays un petit coin du paradis. Je viens de découvrir les Comores par ce pavillon et ça fait plaisir”, a-t-il résumé.
La Bosniaque, Emeralda Naenen, trouve, quant à elle, que le pavillon comorien dégage une “énergie certaine”. “Les produits exposés incitent les visiteurs à aller à la rencontre de ce pays”.“Je suis très heureux d’avoir eu l’occasion de visiter le pavillon comorien. J’ai découvert des traditions jusqu’à là étrangère à mon égard.
Le lit traditionnel comorien (Itranda sha ngwe), ses cuillères (Unkube) ainsi que ses feuilles de cocotier tissées (Mtsepve). Je ne suis pas un homme d’affaire avec beaucoup de moyens ni un amateur de tourisme mais, je souhaite y allé un jour. Je serai également très ravi de voir ce pays se développer”, a conclu le citoyen émirati, Ahmed Issa.
Mahdawi Ben Ali