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1e édition du concours de hadiths prophétiques I Trois grands prix sont en jeu le 23 juillet

1e édition du concours de hadiths prophétiques I Trois grands prix sont en jeu le 23 juillet

Société | -

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Les inscriptions sont d’ores et déjà ouvertes aux filles et aux garçons âgés de 12 ans au minimum.

 

La Fondation Mohamed VI des oulémas Africains, section Comores, a tenu une conférence de presse le samedi 8 juin dans ses locaux à Moroni, pour annoncer le lancement de la première édition du concours de hadiths prophétiques. Les inscriptions de cette compétition sont ouvertes aux femmes et aux hommes âgés de 12 ans au minimum et sont limitées à 50 candidats. Pour la section comorienne, la compétition se tiendra le 23 juillet au siège de la Fondation Mohamed VI à Moroni. Les résultats des 48 sections issues de différents pays, vont être dévoilés le 30 juillet au Maroc.


Un lauréat sera désigné dans chacune des trois catégories de ce concours. Trois prix sont à promouvoir : celui de la mémorisation de 40 hadiths prophétiques et leurs chaines de transmission, celui de la mémorisation de 30 hadiths prophétiques et leurs significations ainsi que celui de la mémorisation d’une vingtaine de hadiths prophétiques, accompagnés de leurs explications jurisprudentielles.Ce concours va être corrigé par une commission de spécialistes locaux qui ont fait des études sur les sciences des hadiths prophétiques.


Le président de la Fondation, section Comores, Abdoulhakim Mohamed Chakir, a souligné l’engagement de la Fondation Mohamed VI des oulémas Africains à accompagner les sections dans l’organisation du concours. Il a également précisé que tout sera mis en œuvre pour garantir son succès. De son côté, le secrétaire général de la fondation, Dr Nourdine Bacha, a mis l’accent sur les différentes catégories dudit concours ainsi que les étapes à suivre. Il a aussi rappelé ses objectifs, soulignant la nécessité de raffermir l’intérêt des jeunes à l’égard des hadiths prophétiques et de les encourager à leur mémorisation et leur compréhension.

Par Mohamed Nourou Athoumani

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