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Clôture du projet I «Résilience agricole et entreprenariat» aux Comores

Clôture du projet I «Résilience agricole et entreprenariat» aux Comores

Société | -

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L’assistant représentant de la Fao aux Comores, Ediamine Bedja, a déclaré que «ce projet vise à soutenir le développement du pays et à accompagner son intégration dans le développement régional, en proposant des programmes et des projets de qualité» et que «tout cela vise à consolider le secteur agricole et à améliorer les conditions de développement socio-économique».

 

L’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (Fao) et l’ambassade de France aux Comores ont clôturé les activités du projet de résilience et d’entrepreneuriat aux Comores au siège du ministère de l’Agriculture à Mde, le samedi 3 juin. Ce projet est le fruit d’un partenariat financier entre la France et l’Union des Comores, visant à renforcer la confiance mutuelle entre les deux pays dans le domaine agricole.


L’assistant représentant de la Fao aux Comores, Ediamine Bedja a déclaré que «ce projet vise à soutenir le développement du pays et à accompagner son intégration dans le développement régional, en proposant des programmes et des projets de qualité» et que «tout cela vise à consolider le secteur agricole et à améliorer les conditions de développement socio-économique». Il a également exprimé sa reconnaissance pour la confiance accordée par le gouvernement depuis 1978 et a réaffirmé l’engagement de la Fao à accompagner le pays dans la réalisation de ses objectifs de développement durable.

L’économie rurale

Ce projet, financé par le ministère français des Affaires étrangères via son ambassade, pour un montant de 972 000 euros sur une durée de deux ans, prend fin, afin de favoriser les formations qui nécessitent des déplacements sur le terrain. Patrice Thevier, conseiller de coopération, d’action culturelle et représentant de l’ambassade de France aux Comores, a noté l’importance des producteurs en tant que moteur de cette économie rurale, où leurs conditions de travail et la productivité agricole jouent un rôle majeur. «Ce qui compte maintenant, c’est la proximité. Il est nécessaire d’organiser des formations sur le terrain», a-t-il soutenu. Selon lui toujours, il s’agit d’un projet qui ne devrait en aucun cas être considéré comme terminé. «Il faut également penser à améliorer la sécurité alimentaire des populations des îles de l’Union des Comores», a-t-il ajouté.

Par Nakib Issa (stagiaire)

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