Notre chroniqueur revient aujourd’hui sur le thème du commerce. «Un thème très vaste dans le cadre de la réligion et dont la loi musulmane .»
Le commerce d’après-lui est l’échange des produits. « Je te donne un cahier que tu en a besoin en échange tu me donnes de l’argent. Cet échange est autorisé dans le moment où l’islam l’agrée. Allah atteste qu’il a autorisé le commerce et interdit l’usure. »
Remontant sur l’origine du commerce, Oussoufa Ahamada, (Amdjad) a expliqué que l’acte de vendre (le commerce) n’avait pour définition qu’une échange des biens (troc), mais vue l’évolution du monde la vente se fait le plus souvent avec de l’argent. Le Coran, les Hadiths du prophète Mouhammad (saws) ont bien expliquée l’importance du commerce. Plusieurs versets du saint Coran, pour preuve, ont longuement insisté à la fois aux respects des prix, et des balances en montrant des peines réservées. Le prédicateur s’est appuyé aux cinq premiers versets de la sourate 83 dite les («Fraudeurs»). «Malheureux aux fraudeurs qui exigent pour eux-mêmes des mesures pleines. Qui trichent lorsqu’ils pèsent ou mesurent pour les autres». Continuant à s’appuyer au Saint Coran, il a parlé d’une vente direct entre le vendeur et l’acheteur, et d’une autre que la charriât exige des témoins, a fait savoir Fundi Amdjad.
Pour l’importance du métier du commerce le chroniquer a cité un hadith du Prophète qui a qu’il avait l’habitude de le raconter à ses disciples que le meilleur métier est celui pratiqué par la main et l’intelligence de l’homme d’où le commerce y figure, sans doute. Le prêcheur a par cette occasion lancé un appel aux acteurs et aux commerçants qui profitent la situation actuelle de crise sanitaire et du jeûne pour hausser des prix des produits de consommation. « Ce n’est pas en période de pandémie ou de Ramadhwani que certains doivent hausser les prix des produits de base».