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Fin d’une formation sur l’archivage à la Ccia de Ngazidja

Fin d’une formation sur l’archivage à la Ccia de Ngazidja

Société | -   Nakib Issa

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La Ccia de Ngazidja a achevé une formation de quatre jours sur l’archivage, avec l’objectif de renforcer les compétences des entreprises locales.

 

La Chambre de commerce, d’industrie et de l’artisanat (Ccia) de Ngazidja a clôturé, hier mardi 9 juillet, une formation intensive en archivage des documents et des données. La cérémonie de remise d’attestations a eu lieu au siège de la Chambre, et a marqué la fin de quatre jours de renforcement des compétences professionnelles, débutés le 1er juillet.Cette initiative s’inscrit dans le cadre des efforts de la Ccia pour répondre aux besoins des entreprises publiques et privées du territoire, ainsi que des Organisations non gouvernementales (Ong), des associations, des institutions financières et bancaires, des imprimeries et des archivistes. La formation visait à améliorer les capacités en matière de collecte, de communication, d’élaboration des outils techniques indispensables et de conservation des documents.


Ali Toibib, le formateur principal, a exprimé sa gratitude envers le personnel organisateur et les participants. «Je tiens à remercier le personnel qui a organisé cette formation, ainsi que ceux qui y ont participé. Nous savons que le temps est une ressource précieuse, mais ils ont maintenu leur engagement», a-t-il dit. Il a également insisté sur l’importance de la poursuite de l’apprentissage, en déclarant : «Je vous recommande de continuer à apprendre car aucune connaissance ne possède de finalité et tout ce que nous apprenons peut toujours être amélioré.»


Mohamed Soulé Dada, un des bénéficiaires de la formation et archiviste de profession, a exprimé son enthousiasme quant au déroulement de la formation. «C’était une formation essentielle pour nous, même si c’était une première pour la plupart d’entre nous. Nous tenons à remercier tout particulièrement notre formateur, qui, malgré des conditions défavorables, a montré beaucoup de courage et d’engagement pour nous transmettre ses connaissances», a-t-il confié.Mohamed Soulé Dada a également souhaité que ceux qui participaient pour la première fois puissent bénéficier d’autres formations similaires à l’avenir.

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