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Fondation Abu Malha I Une distribution de fournitures scolaires à Madjoma

Fondation Abu Malha I Une distribution de fournitures scolaires à Madjoma

Société | -

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À l’occasion de la rentrée scolaire 2022-2023, la fondation Abu Malha poursuit ses actions de distribution de kits scolaires dans différentes régions de l’île. Une initiative saluée par les élèves et leurs parents de la localité de Madjoma ya Dimani. «Je pense que l’année prochaine nous allons pouvoir mobiliser et collecter beaucoup plus de fournitures pour aider les plus démunis», espère Le président de la fondation, Ben Abdallah Youssouf.

 

La fondation Abu Malha a procédé, samedi dernier dans la localité de Madjoma dans la région de Dimani à une distribution de fournitures scolaires composées de sacs à dos, stylos et des cahiers au profit de 94 élèves de l’école primaire publique, en présence du directeur général de l’établissement, des instituteurs ainsi que des parents d’élèves de ladite localité.

Contribuer au développementéducatif du pays

Le président de la fondation, Ben Abdallah Youssouf, a rappelé les initiatives prises depuis l’année dernière afin de contribuer au développement éducatif du pays. «Nous sommes ici à Madjoma dans la région de Dimani dans le cadre de notre action de distribution de fournitures scolaires aux élèves de l’école primaire publique, donc c’est une initiative déjà prise par la fondation depuis l’année dernière. On a lancé cette activité à Mtsamdu ya Washili. Cette année nous sommes venus à Madjoma. Je pense que l’année prochaine nous allons pouvoir mobiliser et collecter beaucoup plus de fournitures pour aider les plus démunis. C’est notre façon de soutenir et contribuer au développement du pays. Parce que le vrai travail de développement, commence à la base» a-t-il déclaré.


Pour sa part, le directeur général de cette école se dit satisfait de cette initiative qui aide les parents d’élèves pour les fournitures scolaires de leurs enfants. «C’est une bonne initiative car nous allons diminuer un peu les charges surtout en cette période de vie chère. Car on ne sait pas comment trouver 5000 francs pour acheter des sacs qui coutaient 2000 francs à 2500 francs auparavant, n’en parlons plus les cahiers dont les prix ont doublé», a souligné Mohamed Ali Mzé.

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