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Fondation Mohamed VI des oulémas africains I Neuf lauréats retenus pour le concours de lecture du Coran au Maroc

Fondation Mohamed VI des oulémas africains I Neuf lauréats retenus pour le concours de lecture du Coran au Maroc

Société | -

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La troisième édition du tournoi de mémorisation et de récitation avec tajweed du saint coran était divisée en trois catégories. Chacune d’elle aura vu trois gagnants, donc neuf au total qui représenteront les Comores dans un concours du saint coran prévu au Maroc.

 

L’antenne régionale de la fondation Mohamed Vi des oulémas africains a organisé, samedi dernier au Retaj, la troisième édition du concours de mémorisation et de récitation avec tajweed du saint coran. La cérémonie d’ouverture a été présidée par le grand mufti de la République, Aboubacar Saïd Abdillah Djamalilail, ainsi que le président de la Fondation Mohamed VI aux Comores, Dr Abdoulhakim Mohamed Chakir. Cette année, 65 lecteurs ont pris part au tournoi qui était répartie en trois catégories : une première opposant deux candidats concourant sur 30 chapitres du livre saint, une deuxième regroupant 31 lecteurs concourant sur 30 chapitres et Warshi, et une dernière catégorie qui aura réuni 32 participants concourant sur cinq chapitres du livre saint.

32 pays dans le monde

Après de longues heures à se relayer la parole et à livrer des prestations de haute volée au sein de la salle de spectacle du Retaj, le jury a sacré neuf candidats, trois dans chaque catégories. “Les vainqueurs vont représenter les Comores dans un concours de lecture du Coran qui aura lieu au Maroc”, a fait savoir le maitre de cérémonie. Dr Abdouhakim Mohamed Chaki se félicite quant à lui, de la tenue d’un concours du saint coran porté sur le warshi et le nahfi (des types de lecture), “une avancée pour le pays, une grande première” selon lui. il a également tenu à remercier le roi du Maroc qui a initié la Fondation Mohamed VI des oulémas africains, implantés dans 32 pays africains africains, et qui a pour but “l’encadrement scientifique et religieux afin d’empecher la radicalisation, mais aussi de combattre l’idéologie salafiste et djihadiste”.

Housni Hassani

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