logo Al-Watwan

Le premier journal des Comores

Journée de reboisement à Kandzile I Telco et ses partenaires engagés dans la préservation de la biodiversité

Journée de reboisement à Kandzile I Telco et ses partenaires engagés dans la préservation de la biodiversité

Société | -

image article une
Au total, 2 000 arbres ont été plantés à Ngazidja, le même nombre à Ndzuani, et une projection de planter 1 000 arbres à Mwali dans les prochains jours. L’objectif principal de cette opération, selon Fouad Abdoulabi, directeur de l’agence des Parcs nationaux des Comores, est de « restaurer la biodiversité dégradée tout en offrant des avantages économiques à la communauté locale».

 

Le 30 décembre dernier, l’opérateur privé de télécommunications, Telco, l’agence des Parcs nationaux des Comores (Pnc), et le Pnud (Programme des Nations unies pour le développement) ont conjointement organisé une vaste opération de reboisement à Kandzile. L’événement s’est déroulé dans la forêt de cette localité, presque déforestée et devenue symbole des dangers climatiques.

Karim Athoumani Mohamed, directeur de la régulation de Telco, a souligné que cette initiative s’inscrit dans le cadre d’un partenariat récemment signé avec les Parcs nationaux des Comores, visant à atténuer l’impact négatif des activités humaines sur le territoire.


Au total, 2 000 arbres ont été plantés à Ngazidja, le même nombre à Ndzuani, et une projection de planter 1 000 arbres à Mwali dans les prochains jours. L’objectif principal de cette opération, selon Fouad Abdoulabi, directeur de l’agence des Parcs nationaux des Comores, est de « restaurer la biodiversité dégradée tout en offrant des avantages économiques à la communauté locale».


La communauté de Nkandzilé s’est montrée fière de sa participation à cette initiative, et affirmé sa «volonté de préserver la biodiversité par des décisions communautaires».
1500 plants fruitiers et forestiers ont également été plantés dans la région, dans le but de contribuer à un avenir plus vert et durable.

                            Par Mohamed N. Athoumani

Commentaires