Soilahoudine Ahamada, le directeur général du Laboratoire national des travaux publics et du bâtiment (Lntpb), a présenté, le samedi 22 février dernier, le bilan des six derniers mois. Son mandat a été marqué par des «avancées majeures» en matière «de partenariats, d’infrastructures et de conditions de travail». Deux conventions ont été signées : l’une avec le Lntpb de Madagascar pour «favoriser les échanges d’expertise», l’autre avec l’Afg Bank pour un «meilleur accompagnement financier ».
Pour moderniser le cadre de travail, la direction affirme avoir «réhabilité les bureaux, renforcé le mobilier et amélioré l’environnement général». La formation a également été une priorité, avec « trois agents bénéficiant de sessions sur l’impact environnemental et la gestion des archives». De même, un véhicule a été acquis pour faciliter les missions du laboratoire. Selon toujours le directeur, «la gestion administrative a été stabilisée» grâce à «la régularité des paiements du personnel». Pour 2025, le Lntpb ambitionne de «réviser ses textes juridiques, renforcer les compétences du personnel et sécuriser les travaux ». Toutes ces initiatives n’ont bien entendu d’autre but que de positionner l’institution comme un acteur clé des travaux publics et du bâtiment dans le pays.
Youssef Abdou