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Promotion de la paix et de l’écologie I L’Ong Dis-Moi reprend la sensibilisation des jeunes

Promotion de la paix et de l’écologie I L’Ong Dis-Moi reprend la sensibilisation des jeunes

Société | -   Nakib Issa

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L’organisation non gouvernementale a lancé un projet innovant pour former des ambassadeurs de la paix et de l’environnement.

 

« Dis-Moi », une association présente dans plusieurs îles de l’océan indien, a procédé au lancement d’un projet pour la promotion des droits humains, ce jeudi 18 juillet à son siège du quartier Câble de Lion à Moroni. Il s’agit d’une formation visant à protéger et promouvoir les droits humains dans l’océan indien à travers différentes thématiques impliquant les droits des enfants, des personnes âgées, et des personnes en situation de handicap, le tout dans un environnement sain. « C’est un programme financé par la  Commission de l’océan indien qui vise à former des ambassadeurs de la paix et de l’environnement.

Nous pensons que la jeunesse comorienne a besoin de cette formation. Notre objectif est de réunir plus d’activistes dans l’océan indien qui militent en permanence pour les droits humains ainsi que la protection de l’environnement », a expliqué Mélanie Valère, secrétaire générale de l’association Dis-Moi. Elle a également tenu à informer qu’un bureau général a été officialisé à Câble de Lion. « Les jeunes pourront venir ici et profiter d’un espace de travail dynamique réservé à ces activistes des droits de l’homme », a-t-elle souligné.

Notons que cette mobilisation compte actuellement 50 jeunes désireux de s’intégrer. « Avec ce nombre, nous comptons également mener des campagnes de sensibilisation auprès des écoles afin d’attirer le maximum de jeunes pour nous rejoindre dans ce mouvement », a informé Mélanie Valère.

Par ailleurs, cette organisation, créée il y a 12 ans et ayant entamé des travaux aux Comores il y a 5 ans, revient aujourd’hui avec de nouvelles ambitions. « À travers cette mission de militer pour les droits humains dans l’océan indien, notamment à Maurice, aux Seychelles, à Madagascar et aux Comores, notre engagement est de permettre aux jeunes d’apprendre et de communiquer leurs connaissances ailleurs, afin qu’ils deviennent responsables d’eux-mêmes et de la société civile », a confié Ali Naila, coordinatrice du projet.

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