La cérémonie de clôture des deux formations lancées le 24 janvier dernier par l’Institut consulaire de formation(Icf) de l’Uccia, a eu lieu, hier, au sein de l’institution. La première formation (10 jours), assurée par Mhoma Said, avait comme thématique, l’élaboration des états financiers de synthèse, alors que la deuxième (17 jours) portait sur la formation en secrétariat et assistant de direction, sous la houlette d’Aboubacar Saïd Salim.
Les participants viennent de la Meck-Moroni, de la société Salsabil, de Com’Air assistance, de l’Ortc, de la Pharmacie des Comores, de la Bic Comores et des établissements Super A.En tout, ce sont 17 participants qui se sont vu attribuer des “attestations de participation”, mais pas que. “L’attestation, c’est juste symbolique.
On a surtout mis l’accent sur l’amélioration des capacités de travail des participants”, a déclaré l’administratrice de l’Icf, Yousra Said Ali Dainane. Les formations sont payantes, mais Yousra Saïd Ali Dainane assure qu’étant “un établissement public, les tarifs ont été considérablement revus à la baisse pour permettre à tout un chacun de pouvoir en bénéficier”. La formation en secrétariat et assistant(e) de direction avait comme principaux objectifs, “permettre à l’assistant de direction de mieux connaitre son rôle, développer ses capacités rédactionnelles, faciliter une meilleure organisation de ses taches et maîtriser l’organisation de réunions et la prise de notes”.
La pertinence des formations
Animateur en chef de la formation, l’écrivain Aboubacar Saïd Salim, à l’issue de la cérémonie, séexclame avec satisfation: “La plupart des participants ont pu améliorer leurs capacités de rédaction”, Les participants ont eux aussi exprimé leur satisfaction. C’est le cas de Mohamed Badroudine, secrétaire administratif de la société Salsabil. “Dans la rédaction de lettres administratives et la prise de notes, j’ai constaté une certaine amélioration”, a-t-il déclaré.
La formation s’est aussi orientée vers le domaine de la communication. La gestion des ressources humaines serait, selon Aboubacar Saïd Salim, “la pierre angulaire de toute société”. “Il faut que les bénéficiaires sachent comment se comporter avec les autres en milieu professionnel, et comment élaborer les plans de leurs chefs”, a-t-il poursuivi. Dans ce domaine, Mohamed Badroudine s’est dit “gagnant, et prêt à performer dans la préparation et l’organisation de la réunion”.
Housni Hassani, stagiaire
