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«Journalisme de solution». Fin d’une formation à Mwali

«Journalisme de solution». Fin d’une formation à Mwali

Société | -   Antufati Soidri

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Les bénéficiaires devaient acquérir une nouvelle approche du traitement de l’information qui «consiste à attirer l’attention sur d’autres informations qui doivent être diffusées pour apporter des solutions aux maux qui rongent la société. Il n’y a pas seulement la politique, les catastrophes, les accidents...».

 

Le «journalisme de solution» (Joso) est un projet initié, aux Comores, par le journaliste de Houriat Média, Ahmed Bacar, coordinateur du projet, et financé par l’ambassade des États unis au profit des journalistes comoriens. Après Ngazidja, le tour est revenu à Mwali avant Ndzuani.Des journalistes issus de différents médias officiant dans l’île Mwali, l’Ortc, l’Office de radio et Télévision de Mwali, La Gazette des Comores, Al-watwan et Radio Ascobef, l’ont suivie du 20 au 24 octobre 2022.


La cérémonie de remise des attestations organisée pour la circonstance, a été honorée de la présence du délégué en charge de l’insertion professionnelle, du maire de la commune de Fomboni, du conseiller en communication et des affaires culturelles à l’ambassade des États unis à Madagascar et de son assistant, respectivement, Rayihanati Halidi, Abdoul Mouhaimine Abdallah, Ryan Bradée et Abdou M’roivili.Huit journalistes ont bénéficié de cette formation dispensée par le journaliste Ali Moindjie et le technicien en cinématographique, Saïd Hassane Ezidine. Le journalisme de solution est un projet initié par le journaliste de «Houriat Média», Ahmed Bacar, coordinateur du projet et financé par l’ambassade des États unis au profit des journalistes comoriens. Après Ngazidja, le tour était pour Mwali avant, bientôt, Ndzuani.


Durant les cinq jours de formation, les bénéficiaires ont pu acquérir de nouvelles méthodes de traitement de l’information, une nouvelle approche qui «consiste à attirer l’attention sur d’autres informations qui doivent être diffusées pour apporter des solutions aux maux qui rongent la société. Il n’y a pas seulement la politique, les catastrophes, les accidents...», explique Ali Moindjié selon qui «il est possible de livrer une autre information qui peut susciter une interaction entre différentes couches de la société». Ils ont, également, appris des techniques de montage vidéo à partir d’un téléphone portable. A la quatrième journée de formation, une séance pratique a couronné les reportages effectués sur le terrain.

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