1.Vous veniez de rejoindre l’équipe des Comores, qu’est-ce cela représente pour vous?
Tout ce que représente un pays : c’est incroyable et c’est une fierté. Certains peuvent croire qu’on l’a fait tardivement mais il n’y a pas d’âge pour venir en sélection. Que ce soit à 20 ans ou à 30, mais tant qu’on vient... Les gens ont plus besoin de temps pour se décider, mais après il faut respecter leur choix. Moi j’ai décidé de venir maintenant et j’en suis fier et content.
2.Comment avez-vous trouvé votre accueil depuis l’aéroport et votre toute première séance d’entraînement ?
Je n’ai pas été, franchement, préparé pour l’accueil que j’ai eu. Je ne pensais qu’il allait y avoir autant de monde. Comme je le dis et le répète, je suis très fier et très content d’être là avec l’équipe et surtout d’être aux Comores. Cela fait plus de dix ans que je ne suis pas revenu au pays. Mais là, j’y reviens et suis content.
3. Vous allez jouer vendredi prochain contre la Centrafrique, classée 127e devant les Comores et qui fait de bons résultats ces derniers temps. Quel est l’état d’esprit de l’équipe?
Nous sommes motivés. Nous sommes, tous, là pour gagner ce match. Nous savons tous que les matchs, en Afrique, sont très durs et se jouent, la plupart du temps, sur des détails. Il va nous falloir rester concentrés durant les quatre-vingt-dix minutes de la rencontre et être beaucoup plus efficaces.