L’entreprise vivrait des problèmes de trésorerie, dit-on. Certains avancent des hypothèses alarmantes. «Il se pourrait qu’elle ne réussisse pas à payer ses prochaines cargaisons», nous dit l’une des sources. Cette situation, si elle se confirme, risque de plonger l’entreprise publique dans l’incapacité d’honorer ses engagements auprès de l’Iftc (la société d’assurance des crédits à l’exportation) de la Banque islamique de développement (Bid) qui couvre ses achats à travers un système de revolving mis en place pour éviter d’insupportables pénalités en cas de retard de paiement auprès du fournisseur. La Sch est-elle vraiment au rouge ? Nous reviendrons dans nos prochaines éditions.
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